Une longue journée de transport qui conduira le touriste sur les terres de la Cappadoce. Mais grâce au talent du guide et à l’attention du chauffeur qui évitera les pièges de la route, le trajet s’effectuera en douceur. Le réveil des touriste est fixé à 6h pour un départ précis à 7h30. Les retardataires devront s’acquitter d’un gag à décrété le guide la veille accompagné d’un éclat de rire. Par exemple, payer l’apéritif pour tout le groupe.
Astuce psychologique pour faire passer le message de la ponctualité du matin.
Le trajet débutera par les 100 premiers kilomètres par le franchissements d’un col d’une hauteur de 1825 mètres. Plus loin et à moitié de la matinée, une halte technique pour les personnes est fixée pour soulager les ventres. Certains d’entre les touristes profiteront de cette halte pour acheter quelques souvenirs pour offrir aux proches. Il est conseillé de ne pas se précipiter car dans le futur les magasins de souvenirs ne manqueront pas et le choix seront encore plus important qu’a ce moment là. Il est à noter que les toilettes sont gratuites pour cet arrêt et si l’envie de commander un the ou un café au bar existe, il n’y a pas de souci c’est faisable car le temps d’arrêt est de 30 minutes.
Une fois ce temps passé, tout le monde remonte dans le car pour finir la première partie du trajet qui compte encore 2 heures.
Voici le moment de la première visite du circuit incluse dans le tarif complémentaire de 159 €. Tout commence par la visite gratuite d’une mosquée, une fois à l’intérieur, le guide expliquera en 5 minutes les éléments importants de ce lieu puis direction du couvent Meuleri, situé juste à gauche de cet édifice connu comme lieu de pèlerinage.
L’entrée se fait de façon collective, auparavant chacun récupère son ticket pour le scanner à une borne afin d’accéder à l’intérieur de ce lieu. La visite se fait accompagné du guide qui au bout d’un moment lâchera le groupe pour fixer une heure de rassemblement à la sortie.
Retour dans les sièges du car pour finir les 550 kilomètres qui sépare l’hôtel en bordure de mer, point d’origine de ce matin à la Cappadoce. La Cappadoce se situe entre 1000 et 1200 mètres d’altitude et le paysage proposé pour arrivé au centre est une steppe semi-aride. Quelques pieds de vigne poussent pour donner un bon vin. Il est à noté que pour lutter contre le froid de l’hiver, la vigne est enterré avec de la terre, il n’en sort que quelques bois.
A 13 h, après les visites, le groupe est amené dans un restaurant, le déjeuner est pris en self-service et ce sera presque toujours ainsi lors des repas, chacun se trouve une place les uns à coté des autres. Pour couper le trajet de l’après-midi, une visite est mise en place et permet de découvrir une ville souterraine. Comme toujours à la sortie du site une nuée de stand de souvenir est présent tenu par des villageoise qui proposent des poupées en tissus.
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Arrivé vers les 20h à l’hotel Kaplica Meuhi à Nevsehir ou semblable, les touristes descendent du car souriant et tranquillement en n’oubliant pas de féliciter le chauffeur qui a avalé tout le trajet Antalya à la Cappadoce dans changer de personne (En France, les normes sont telles qu’il est impossible au même chauffeur d’effectuer ce trajet seul car il a eu le volant à 7h30 entre les mains et l’a lâché à 20 h. Mais pour sa défense, il faut savoir qu’il y a très peu de véhicules sur les routes de Cappadoce et que le bus à tenu une moyenne de 75 kilomètre par heure.
L’essence en Turquie est plus cher qu’en France et le niveau de vie des habitants est inferieur à celui de la de France. Voilà la raison du peu de véhicules circulant sur le bitume Turque.
Pour information lors du trajet, les passagers du car ont aperçu un volcan de 3200 mètres ou l’on peut voir en Mai encore de la neige au sommet.
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